Adieu et merci

Publié le par Elway

deces2Ca devait arriver, les ouvrières de premières génération commencent petit à petit à tirer leur révérence et à mourir dans une indifférence quasi générale.

Les petits corps sans vie, sans autre forme de cérémonie, sont évacués du nid et déposés dans l’ADC au milieu des autres détritus.

Ces pionnières, bien chétives en comparaison des nouvelles générations d’ouvrières, ont sacrifiées leur jeunesse et leur vie au service de la colonie et ont permis le développement qu’on lui connaît aujourd’hui.

Sans elles, rien n’aurait été possible, mais qui à part moi s’en soucis vraiment ?

La vie est ainsi faite et dans les vastes galeries des fourmilières, il n’y à de place ni pour la tristesse, ni pour les remerciements, ni pour la nostalgie, seul l’avenir compte…

Adieu les petiotes, et encore merci pour tout…

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